Troisième rencontre le 29 janvier : comment tirer le meilleur de la structure PDP-8 ? Mais est-ce adapté aux besoins ??
Participants : Monique Chabre-Peccoud, Philippe Denoyelle, Philippe Duparchy, Gérard Chouteau, Edgar Bonet, Maurice Geynet et Jean-Philippe Pernin par téléphone.
La grippe avait éloigné plusieurs habitués mais M. Bonnet nous a rejoint.
Une proposition d’acronyme pour avoir un nom plus court…
Projet d’Ordinateur Pédagogique……Évolutif ? Interactif ? I ? E ?
Les participants sont peu enthousiates ! Jean-Philippe propose d’y réfléchir
Suit une réflexion sur les codes nécessaires à un débutant (presque tout), ce qu’il faut ajouter pour un "confirmé" (le branchement à sous programme) et pour un "expert" (E/S et interruptions !)
E. Bonet nous rappelle l’existence du rapport de l’Académie des sciences
http://www.academie-sciences.fr/activite/rapport/rads_0513.pdf
Voir aussi la discussion par l’EPI
http://www.epi.asso.fr/revue/docu/d1306a.htm
Visiblement nous devons consacrer une prochaine réunion à une réflexion complète sur les concepts que nous devons présenter.
Une autre forme de machine s’y prêterait-elle mieux ? N’allons nous pas être amenés à envisager DEUX machines ?
Juste après la réunion, E. Bonet nous a envoyé un long message reprenant les difficultés soulevées. Il nous propose de regarder aussi la structure du microprocesseur Motorola 6502 et nous fournit d nombreuses références.
Le message a été transmis aux participants habituels. Faut-il le mettre sur le web ?
Sur ce croquis, toutes les liaisons entre registres sont tracées (sauf oubli !) On constate que l’on peut tout représenter sans croisement…
Des voyants (ou des rubans lumineux ?) placés sur les connexions permettraient de montrer (pour des utilisateurs un peu "confirmés") les chemins qui s’ouvrent, en pas à pas, phase à phase.
Première publication :
Mise en ligne le vendredi 31 janvier 2014